Pour Arthur et les minimoys, c’est beaucoup, beaucoup de travail. On est souvent sept à huit heures d’affilée derrière un micro, concentré sur un écran et une bande qui défile. Mais, ce sont aussi des éclats de rire, une connivence avec Luc Besson et c’est un exercice qui est tout nouveau pour moi et qui est très intéressant.