Il y a beaucoup de complicité, de rires, d’attentions réciproques, de réflexion. Toutes les tenues étaient extraordinaires, les miennes comme celles des danseurs. Le costume écorché est un chef-d’oeuvre « ensanglanté », qui a marqué l’imaginaire collectif. Le tableau « tutuesque » nous a enchantés. Les danseurs et les danseuses étaient chaque soir très fébriles avant leur entrée en scène.