C’est, semble-t-il, une question qui taraude beaucoup les médias, mais, vous savez, il y a dix ans déjà, on me demandait: « Quand saurez-vous que ce n’est pas le combat de trop? ». Je ne me projette pas dans l’avenir. Trop angoissant. Quand le désir n’existera plus, alors je me volatiliserai.