Les années Ainsi soit je… et Tour 89
Top 50, le 01/02/1988
Les interviews se raréfient, donc maintenant je suis contente de les faire. |
Top 50, le 01/02/1988
J’ai toujours voulu choisir le photographe. Les photographes ne sont pas tous bons, il y en a beaucoup qui s’improvisent comme ça, sans rien connaître. Moi je veux un droit de regard sur ce qui est publié. |
Top 50, le 01/02/1988
J’ai horreur des remises de prix. |
Top 50, le 01/02/1988
Je n’ai jamais voté, je ne me sentais pas concernée. C’est très compliqué, je ne me suis pas penchée sur le problème. Cette année, je vais peut-être changer, je ne sais pas. |
Top 50, le 01/02/1988
Je ne me permettrais pas de m’impliquer politiquement, je ne me prononcerai jamais. Je suis pour la neutralité. Un artiste ne doit pas s’impliquer en dehors de sa profession. |
Top 50, le 01/02/1988
C’est un bouffon, il ne m’intéresse pas. |
Top 50, le 01/02/1988
Je me suis beaucoup amusée en faisant Déshabillez-moi. C’est la mode des covers en ce moment, mais cela peut être dangereux. |
Top 50, le 01/02/1988
Il y a horreur et horreur. Je n’aime pas du tout ce qui tombe dans le grotesque. Par contre, les films à suspense ou qui font vraiment froid dans le dos, sans en faire trop, j’adore. |
Top 50, le 01/02/1988
Je ne me considère pas comme appartenant à la grande famille du show-biz. Dans l’ensemble, je n’ai pas d’affinités avec ces gens là. Il faut avoir un peu de recul et garder une possibilité d’évasion. Même les gens que je respecte, je ne les vois pas ou très peu. |
Top 50, le 01/02/1988
Tout dépend de ce que l’on appelle science-fiction. La littérature fantastique comme ce que fait Edgar Poe, j’adore ! Le reste, je suis beaucoup moins attirée… |