Les années Ainsi soit je… et Tour 89

Les animaux du monde - TF1, le 22/05/1988

M’occuper de singes dans la jungle ? Je me sens foncièrement capable. Maintenant, de là à y arriver, à prendre cette décision… Je pense que je le ferai beaucoup plus tard, en tout cas. Mais je crois que ça ne se fait pas non plus à la légère, c’est rentrer comme on rentre dans un couvent. Et avoir certainement beaucoup plus de connaissances quant aux singes et à leur vie que je n’en ai moi-même. Donc ça serait plus un rêve… Mais j’ai suivi longuement la vie de Diane Fossey qui était fascinante.

Top 50 - Canal Plus, le 26/05/1988

Je pense pas que le tournage du clip Ainsi soit je… était plus facile. On a mis un peu moins de temps pour le tournage, qui s’est effectué en deux jours. La préparation est la même. Pour une petite anecdote, nous avons tourné dans le même studio que le clip Plus Grandir, qui était le studio Sets à Stains, et avec pratiquement la même équipe que ce même clip.

Top 50 - Canal Plus, le 26/05/1988

J’ai rencontré Zouc sur une émission, enfin j’avais demandé sa participation lors d’une émission qui était sur Canal + aussi, qui s’appelait « Mon zénith à moi » et elle est venue. Et après, nous avons lié évidemment connaissance et amitié, et quand nous avons fait le projet donc du tournage de Sans contrefaçon, il y avait un personnage et c’était évident que ce fût Zouc.

Top 50 - Canal Plus, le 26/05/1988

Pour le cinéma, j’ai eu beaucoup de propositions, mais pas encore acceptées ! Parce que ce n’était sans doute, là encore, pas le bon réalisateur. En tout cas, celui que je souhaitais.

Top 50 - Canal Plus, le 26/05/1988

J’ai envie de scène! Et je le ferai ! Je n’ai pas de dates. Peut-être le Palais des Sports… C’est très grand, mais il y a une grande scène et j’ai envie d’évoluer sur une grande scène.

Nous Deux, le 07/06/1988

Je rêvais comme tous les enfants d’être vétérinaire, ou au moins de faire un métier où il serait question d’animaux.

Nous Deux, le 07/06/1988

Je vivotais en faisant des photos de mode, en rêvant de faire du cinéma, quand j’ai rencontré Laurent Boutonnat. Comme nous avons tous les deux très mauvais caractère, on s’est bien entendus.