Les années Ainsi soit je… et Tour 89

Nulle Part Ailleurs - Canal Plus, le 07/10/1988

On a voulu faire la suite de Libertine, ce qui n’était pas évident ! On a bien pensé la chose. C’est vrai que pour Pourvu qu’elles soient douces il n’était pas évident de proposer la suite de Libertine. Après, c’est une recherche. Pourquoi 17 minutes ? Parce que l’amour commun de Laurent et de moi-même pour le cinéma, pour avoir envie de dépasser peut-être, c’est vrai, une chanson et l’histoire d’une chanson.
Parce que la suite de Libertine : donc ça se passe toujours au XVIIIème siècle.

Nulle Part Ailleurs - Canal Plus, le 07/10/1988

Cent cinquante figurants, c’est sur une journée. Il y a eu huit jours de tournage et en globalité, on peut compter à peu près 500 à 600 figurants. Donc, c’était un travail colossal pour le metteur en scène. Et j’avoue que moi j’ai pris un plaisir… le plus grand plaisir, c’était le tournage, mais surtout le montage. Parce que là pour moi, c’était prodigieux ce travail que Laurent a fait avec cette monteuse, qui est Agnès Mouchel.

Nulle Part Ailleurs - Canal Plus, le 07/10/1988

Au début la première image, donc, c’est la fin de la dernière image de Libertine 1, et donc on retrouve Libertine étendue aux côtés de son chevalier et l’armée anglaise va arriver sur le territoire français par erreur, devrait aller en Prusse mais s’est trompée, et va découvrir Libertine et puis la guérir. Le capitaine anglais va tomber amoureux de cette jeune fille, et de l’autre côté, l’intrigue donc, c’est l’armée française qui va découvrir la présence de cette armée anglaise sur le territoire français et qui va payer des prostituées pour pénétrer le camp anglais et décimer cette armée anglaise. Et dans les prostituées, on retrouve la rivale de Libertine.