Les années Ainsi soit je… et Tour 89
De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989
C’est d’abord une première scène. C’est vrai que de faire le Palais des Sports, on vous dit toujours : « Mais pourquoi n’avez-vous pas commencé par une petite scène plus intimiste ? »… Mais mon souhait était de faire le Palais des Sports, parce que c’est une salle que j’aime beaucoup. Si on peut lui trouver une âme, je l’ai trouvée dans ce lieu-là. Et ma foi, c’est tout ! |
De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989
Je crois que pratiquement toutes les chansons de l’album sont très proches de moi. C’est vrai que Sans Logique, c’est le paradoxe qui est en chacun de nous. |
De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989
Je dis toujours que je préfère qu’on lise la nature de mes sentiments dans les chansons que dans les interviews… |
De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989
Les clips, ça fait partie de l’air du temps, d’une part, mais c’est vrai que j’ai eu la chance, moi, de rencontrer Laurent Boutonnat, qui a fait ses premières armes dans le cinéma. A l’âge de 16 ans, il a réalisé un long-métrage…C’est un petit Boutonnat, qui n’a jamais quitté sa caméra, donc il avait très envie, lui aussi, de s’’exprimer au travers de vidéo-clips. |
De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989
Il y a toujours des rapports de force, mais il y a des moments qui se passent merveilleusement bien ! Moi, quand je travaille avec Laurent, j’ai d’abord besoin de la musique si je dois écrire une chanson, par exemple. D’abord besoin de la musique pour pouvoir y mettre des mots. |
De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989
J’ai fait mes premiers essais dans l’écriture avec Plus Grandir, Au bout de la nuit, qui étaient des chansons que les gens appréciaient. Donc je me suis dit, effectivement : « Pourquoi pas moi dans l’écriture ? » Et envie de dire des choses sur soi, je crois. |
De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989
On dit toujours : « Mais vous avez démarré très fort ! »… la période de Maman a tort, après il y a eu On est tous des imbéciles, Plus Grandir… c’étaient des moments assez pénibles, finalement, parce qu’il n’y a pas toujours cette reconnaissance immédiate. C’étaient des moments difficiles, c’est vrai, mais on les oublie très vite. Je pense que c’était de bons atouts aussi que d’avoir eu cette période, ça j’en suis sûre aujourd’hui ! |
De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989
J’écoute très, très peu la radio finalement. J’avoue que je n’écoute jamais la radio, même ! Il faut avoir du temps pour écouter la radio. |
De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989
Si il y a concession, il y aura fléchissement, et je n’en ai pas envie du tout. |
De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989
Il n’y a jamais eu de concessions. C’est pour ça qu’il y a beaucoup de personnes qui ne m’aiment pas. Dans ce métier, je veux dire ! |