12 décembre 2010 – 12

(Après les concerts), c’était un vide abyssal. C’est difficile. Comme quand on fait du sport, l’endorphine, on est gonflé, et puis après, c’est un grand vide qui lui est abyssal et, c’est presque comme une petite mort. On a l’impression de n’être plus rien, de ne servir à rien.