Le noir semblerait plus proche d’un groupe comme Archive qui a une facilité à tutoyer le son. Quand je travaille avec ce groupe, essentiellement son programmeur, ce sont des personnes qui dissèquent. On a l’impression d’être dans un laboratoire. C’est assez intéressant. C’est quelqu’un qui ne lâche rien et c’est quelqu’un qui est dans un univers assez hanté musicalement, obsessionnel. c’est quelque chose qui me transporte. Il me suffit finalement de deux notes… il y a une ou deux notes qui se répètent à l’infini comme ça et ça vous plonge dans un univers incroyable. C’est, me semble-t-il très cinématographique. J’ai toujours aimé ce groupe, beaucoup écouté leur musique.