Les citations liées à "Actualité"
Numéros 1, le 01/09/1984
Je ne lis jamais les journaux… |
Nulle Part Ailleurs - Canal Plus, le 23/11/1987
Je m’intéresse à l’actualité momentanément. Sans plus. C’est-à-dire que j’écoute avec intérêt, mais… Je dis momentanément, c’est quand je peux l’écouter, c’est-à-dire le soir. Mais là, en ce moment, je travaille beaucoup. |
Stars Magazine, le 01/03/1989
Je ne me désintéresse pas de l’actualité mais mes jouissances viennent d’ailleurs. |
Génération Laser - RTL, le 08/04/1991
J’ai quand même tendance à me situer hors de l’Histoire. Non pas hors du temps, mais hors de l’Histoire. J’y suis sensible, mais, maintenant, m’en servir pour des chansons : non, en aucun cas. C’est plus des choses qui viennent de moi, de ma vie, de mes sentiments. Je me dis « À chacun son métier ». Moi, mon métier, c’est la chanson, c’est en tout cas écrire et interpréter. Une fois de plus, je suis sensible à l’actualité mais pas impliquée du tout. |
Podium, le 01/05/1991
J’ai cette sensation d’être morte sur scène en la quittant, je voulais envisager cela comme une nouvelle naissance. Dans l’album, je parle de moi car je crois être incapable de parler d’autre chose. Ce n’est pas mon propos de parler de l’actualité, même si l’année passée a été bouleversante. Il est évident que les choses extérieures me touchent, mais moi j’ai besoin de mes propres émotions pour pouvoir écrire. Cet album est la suite d’un portrait. |
Elle, le 05/04/1999
L’actualité ? Le Pacs, la parité, je ne suis pas tout ça. |
NRJ, le 06/04/1999
On ne peut pas ignorer cette actualité en tout cas. |
Paris Match, le 12/09/2013
Où est l’espoir dans le traitement de l’information ? Je pense qu’on entretient assez volontiers le sentiment de peur. C’est une arme de domination massive. Je me demande ce qu’auraient été les journaux télévisés au Moyen Age. Y avait-il plus de raisons de se réjouir ? Pourtant, entre-temps, le monde a quelque peu évolué. L’espoir est un leurre indispensable. |
Laissez-vous tenter - RTL, le 03/10/2018
Malheureusement, je crois que nous sommes tous des éponges. Nous nous nourrissons malgré nous de tous ces effondrements et cette violence. C’est très très difficile. Mais là encore, j’ai ce privilège qu’est de faire le métier que j’aime, de pouvoir écrire, de pouvoir extérioriser les choses, de pouvoir me débarrasser de choses trop lourdes. Mais je pense à tout ça bien évidemment. Je subis le monde comme tout un chacun. |
Le 17/20 - RFM , le 18/12/2019
Je lis très très peu de journaux, de magazines, je ne regarde quasiment plus les informations, plus la télévision. Bien sûr, je m’informe quand même de l’actualité, mais néanmoins, il y a quand même une espèce d’overdose d’hémoglobine, d’overdose de violence, de négativité dans le fond, et puis de ce qui empêche la création, aussi. |