Les citations liées à "Anglais"
Génération Laser - RTL, le 08/04/1991
Maman a tort, c’était la seule et je ne crois pas qu’il y en aura d’autres (chanson en anglais, ndlr) parce que ma langue première, c’est bien évidemment le français. Ou vraiment pour s’amuser, pourquoi pas. Si j’ai envie qu’on me connaisse, c’est vraiment dans cette langue et à l’étranger je ferai en sorte d’imposer cette langue. Ou alors, ou alors… tant pis. |
Génération Laser - RTL, le 08/04/1991
On l’a fait (la version anglaise de Maman a tort, ndlr) réellement pour s’amuser et pour voir ce que ça pouvait donner en anglais. Mais non, pas de grand espoir, en tout cas ! |
Europe 2, le 21/12/1995
Je n’ai pas cette ambition. Je ne pense pas avoir en moi cette envi et je n’ai pas ce rêve américain. Et puis je crois que c’est d’abord plus du domaine de l’utopie. Parce que pour pénétrer un tel pays, il faut non pas parler, mais s’exprimer en langue anglaise, donc chanter dans cette langue, sinon on ne touchera qu’un très, très faible pourcentage. J’avoue que ce n’est pas un moteur pour moi. |
Europe 2, le 21/12/1995
J’écris en français et il m’est très difficile d’écrire en anglais. Je peux le parler, je peux converser. Maintenant, maîtriser une langue, c’est une autre histoire ! C’est vrai que l’idée que de prêter ma plume à quelqu’un d’autre m’est très, très insupportable. Donc c’est vrai que j’ai du mal à envisager ce passage ! |
Paris Match, le 30/05/1996
On m’a proposé de faire un album en anglais. J’ai refusé. Ce n’est pas l’envie qui me manquait, mais je ne peux pas écrire en anglais comme en français. Je n’arrive pas à jouer avec les mots, à aller au-delà d’eux. |
Télé 7 Jours, le 11/11/1996
Si je devais choisir une ville, je prendrais New York. Pour moi, c’est une ville énergétique, qui m’apparaît comme très positive. J’aime marcher dans ses rues où peu de gens me connaissent. J’ai une sensation de liberté. J’ai l’impression de connaître New York comme une évidence. Son côté vertigineux, étouffant, miraculeux, son architecture stricte et définitive sont magnifiques. Et puis la langue anglaise nous offre la touche de dépaysement qui manque. |
Le Mag - MCM, le 10/06/2000
Jusqu’à présent, ça a été un refus de ma part. Plusieurs fois, on m’a, j’allais dire « proposé » de faire un album anglais ou dans une autre langue. Dans la mesure où j’écris moi-même mes textes, il m’est difficile d’envisager, ou une adaptation de quelqu’un d’extérieur, ou moi-même, je ne possède pas la langue suffisamment pour pouvoir traduire. Et dans la langue française, dans ma langue en tout cas, j’aime bien jouer avec les mots. Donc c’est très compliqué de trouver ça dans une langue qui n’est pas la vôtre. |
Champagne FM, le 12/12/2010
Quand j’ai commencé de travailler avec Darius du groupe Archive, il m’a demandé pourquoi ne pas essayer justement d’écrire une chanson en anglais (Light me up, ndlr). Et puis, je me suis laissée faire pour une fois, influencer. Quant à Moby, la chanson qui s’appelle Inseparables, c’est bien la première fois que je chante une chanson d’un autre auteur. Et, j’ai trouvé le texte tellement joli, tellement fin et, à la fois, profond que je n’ai pas hésité. |
Champagne FM, le 12/12/2010
Inséparables, c’est plus une adaptation en fait. C’est tout nouveau pour moi. Mais, c’est toujours intéressant. J’ai essayé de ne pas dénaturer les sens et d’apporter ses propres mots, ses propres émotions. Mais, finalement, les deux chansons d’humeur voisine, en tout cas, de thèmes totalement jumeaux. Une gémellité, en tout cas. |
Gala, le 10/03/2022
J’aime trop les mots pour être infidèle à la langue française. Même s’il m’arrive parfois de glisser dans mes textes quelques expressions sur mesure comme Fuck them all ! |