Les citations liées à "Baudelaire"
L'Est Républicain, le 30/10/1988
J’aime beaucoup Léo Ferré, ce côté narratif de certains de ses titres. Nous y avons pensé en réécoutant une composition. Baudelaire, que j’apprécie également, s’est presque naturellement imposé pour ce type d’approche. |
L'Est Républicain, le 30/10/1988
Baudelaire, je le découvre de plus en plus. Je lis des biographies. |
Top 50, le 28/11/1988
Une phrase que je répète souvent, c’est une phrase de Baudelaire : « Le temps est un joueur avide qui gagne sans tricher, c’est la loi ». |
L'Humanité Dimanche, le 17/03/1989
La première rencontre sur scène avec le public : ce sera comme un viol permanent. Il ne faut pas prendre le viol au premier degré. Il peut y avoir déplaisir et plaisir. C’est la fameuse « petite mort », expression freudienne reprise par Baudelaire. C’est l’orgasme, ce moment d’apothéose, d’extase puis d’anéantissement. Suprême bonheur. |
7 à Paris, le 26/04/1989
Mon idéal masculin, il a 40 ans, le regard d’un enfant (sans l’innocence), il est fort (mais fragile), il est triste (mais immature), lucide et fan de Baudelaire. |
Graffiti, le 01/05/1989
Celui que j’admire le plus, c’est vraiment Baudelaire. Je trouve qu’il écrit décidément bien ; j’ai d’ailleurs illustré vocalement L’Horloge qui fait partie des Fleurs du Mal. En plus d’aimer le poète, j’apprécie l’homme qu’était Baudelaire, son côté névrosé, persécuté… |
Lyon Matin, le 11/05/1989
J’aimerais être la muse de Villiers de l’Isle Adam. J’aime son désir d’absolu et son style d’écriture métaphorique. Rilke, quitte à voler son homme à Lou Salomé ! Sans oublier David Lean, Jérôme Bosch, Baudelaire. Comme lui, je pense que le beau est bizarre. Il suscite des sensations indéfinissables, donc étranges. Il peut faire pleurer. |
Génération Laser - RTL, le 08/04/1991
Que voudriez-vous savoir ? Si je bois et si je suis malade et si j’ai le spleen ? Je réponds « oui » pour le spleen. |
Paris Match, le 06/12/2001
J’aime l’écriture. Ceux qui m’aiment le savent. La culture a toujours eu une place très importante dans ma vie. J’aime Bataille, Cioran, Edgar Poe, Tchekhov, Baudelaire. La poésie me transporte. Comme je parle peu, je lis souvent. |
JT de 20 heures - France 2, le 12/12/2010
Le temps est effrayant puisque Baudelaire disait : L’Horloge, le fameux poème: « Horloge – Dieu sinistre effrayant impassible ». Ça m’obsède, ça m’angoisse. |