Les citations liées à "Concerts – Avant que l’ombre… à Bercy"
Le Journal du Dimanche, le 08/01/2006
A quelques jours du premier concert : Hypersensible. Angoissée. J’ai la peur au ventre. Mais je me sens, aussi et surtout, très heureuse, tellement heureuse de retrouver mes fans. Il s’agira de l’un des moments essentiels de ma vie. J’ai hâte. |
Le Journal du Dimanche, le 08/01/2006
J’avais une seule idée en tête. Trouver quelqu’un ayant un véritable univers, et des correspondances avec le mien. Le hasard me l’a fait rencontrer en la personne de Franck Sorbier. |
Le Journal du Dimanche, le 08/01/2006
J’ai vu dans un magazine un joli reportage sur les préparatifs et les répétitions d’un opéra magnifique, La Traviata. Je suis tombée en admiration devant l’une des robes de l’une des cantatrices. Elle était longue, façon Second Empire revisité. Elle s’étalait rouge sang. Somptueuse, gigantesque. Comme une coulée de tissu, une cascade de lave voluptueuse. J’ai compris immédiatement que c’était là le genre de tenue que j’attendais. Un coup de foudre et une évidence. |
Le Journal du Dimanche, le 08/01/2006
Franck n’était pas, je crois, plus familier de mon univers que je ne l’étais du sien. J’avais des thèmes en tête quant aux décors et quant aux costumes. |
Le Journal du Dimanche, le 08/01/2006
Je lui avais demandé de venir à moi. Seul. Franck est quelqu’un d’extrêmement secret qui ne sort pas facilement de sa réserve et qui ne trahit pas aisément ses émotions. Un langage que je comprends très bien. Nous nous sommes d’emblée reconnus et bien entendus, sans avoir à nous parler. Nous vivons, l’un et l’autre, dans le doute permanent. Avec, par dessus-tout, le souci du travail très bien fait. |
Le Journal du Dimanche, le 08/01/2006
J’ai découvert les métiers à l’ancienne qui composent le monde de la haute couture. Je n’ignore plus rien du vocabulaire des tissus. J’ai partagé toutes les étapes de la création. Nous sommes partis de choses existantes, revisitées par moi à partir des croquis qui m’ont été proposés. |
Le Journal du Dimanche, le 08/01/2006
Au final, ce ne sont pas des costumes que je porte, ce sont ces costumes, fous et insensés, qui me portent et me transportent. Chacun des sept. |
Le Journal du Dimanche, le 08/01/2006
Ces costumes, je vais les garder chez moi. Tous les garder. J’ai même déjà acheté des mannequins de modéliste pour les mettre dans une pièce. |
7 à 8 - TF1, le 08/01/2006
J’aime le 13. Mais, ce n’est pas de superstition. |
7 à 8 - TF1, le 08/01/2006
Je vais garder le goût du secret. Je regrette de ne pouvoir aller en province mais, ce spectacle est réellement intransportable. Donc, j’ai demandé au public de venir à moi ce qui peut paraître un manque d’humilité mais, c’est vraiment pour, j’allais dire, j’espère, la grandeur de ce spectacle et son côté exceptionnel, extraordinaire. |