Les citations liées à "Concerts – Généralités"
L'Alsace, le 02/10/1994
Le cinéma, c’est ludique mais il est difficile de trouver une émotion plus prodigieuse que la scène… |
20 h Paris Première - Paris Première, le 30/05/1996
Le trac, en général, c’est avant, avant d’entrer en scène. C’est quand on commence à trop penser, trop réfléchir et, une fois ou que l’on monte sur scène, ou en dessous de scène, ou dessus de scène – tout dépend de l’apparition- là, j’avoue que s’opère un total changement et on est totalement dans le spectacle. Et, enfin, l’analyse et la réflexion se dissipent. |
20 h Paris Première - Paris Première, le 30/05/1996
(Rencontrer le public sur scène…) J’aime profondément ça. Je le fais rarement, mais j’aime ça. |
Déjeuner de Gala - Radio Nostalgie, le 30/11/1996
Quand on est en face d’un public, quelle que soit la salle, à partir du moment où il y a plus de deux personnes, trois personnes, mais plus le nombre est grand et plus il ne reforme qu’un et qu’une énergie, en tout cas. |
Déjeuner de Gala - Radio Nostalgie, le 30/11/1996
Je pense que je me livre davantage (sur scène qu’en tête à tête), mais peut-être sans la présence des mots ou en ayant choisi les mots. |
Déjeuner de Gala - Radio Nostalgie, le 30/11/1996
Je crois que l’émotion que moi je ressens sur scène et que je peux offrir est une mise à nu, qui est beaucoup plus importante que dans une interview. |
VSD, le 05/12/1996
Un concert, est un moment choisi, unique. Un moment d’inconscience qui n’appartient à personne d’autre. Une foule anonyme peut être oppressante, car ses réactions sont incompréhensibles. Mais sur scène, je la désire. |
VSD, le 05/12/1996
Les larmes sur scène, cela m’arrive quand un thème me touche particulièrement. J’ai remarqué que l’émotion me submerge plus spécialement sur les morceaux lents. |
NRJ, le 06/04/1999
On me parle de l’improvisation sur scène. J’aime la spontanéité, ça, c’est extrêmement important. Mais il faut une somme de travail à l’avant qui est très importante. |
Top Music, le 30/04/1999
J’ai mis beaucoup de temps à monter sur scène. J’ai attendu sept ans avant de faire mon premier spectacle mais parce que je ne m’autorisais pas, en tout cas, cet exercice-là. Maintenant, il faut dire qu’on est habité par la peur, le trac. Aujourd’hui, je crois que j’ai le même trac, les mêmes angoisses, si ce n’est que je sais à quel point j’ai aimé ces moments-là et à quel point j’en ai besoin. Donc, j’allais dire : « Au diable la peur ! » |