Les citations liées à "Concerts – Tour 1996"
Journal de 18h - RTL, le 16/10/1995
(Bientôt sur scène ?) Je n’ai pas la réponse encore. Je crois que je le ferai, mais je préfère ne pas en parler, puisque je ne l’ai pas moi-même formulé, en tout cas formulé à moi-même. |
JT de 20 heures - France 2, le 28/05/1996
Deux soirs à Bercy. Ensuite, une tournée. Je crois que j’ai vingt-deux dates, vingt-deux concerts. Je vais également à Bruxelles, tous les pays francophones. |
Studio Gabriel - France 2, le 29/05/1996
J’attends ces moments de scène et je l’ai attendu pendant longtemps donc ça a été très, très fort. J’ai passé un moment assez incroyable, assez extraordinaire. |
20 h Paris Première - Paris Première, le 30/05/1996
Je sais quels sont les problèmes à Toulon. Maintenant, ma vie est celle du spectacle donc, pourquoi refuser que d’aller dans cette ville ? Tous les gens n’ont pas choisi, une fois de plus, ce qui s’est passé et ce qui s’y passe. Non. J’y ai pensé, bien évidemment. Maintenant, j’ai décidé d’y aller et le Zénith de Toulon est une très, très belle salle. Et le public était magnifique. |
20 h Paris Première - Paris Première, le 30/05/1996
C’est Paco Rabane qui a fait les habits. Et là, j’avoue que c’était un très, très bon moment, en tout cas toute l’élaboration justement des costumes, les idées. J’ai de la chance. |
France Soir, le 30/05/1996
L’ouverture du spectacle, pour moi, c’est l’évocation de la naissance et de la pureté comme la Vénus de Botticelli. Mais je comprends qu’on puisse l’interpréter d’une façon plus sexuelle. |
France Soir, le 30/05/1996
La nudité n’est embarrassante que devant l’homme qu’on aime, ou sur un tournage lorsque toute l’équipe est à proximité. Mais sur scène, il y a cette distance qui fait qu’on n’y pense pas. |
Paris Match, le 30/05/1996
J’ai viscéralement besoin de cette lumière. Mais est-ce que je ne vis que pour ça? Je ne sais pas. Sur scène, je ne connais pas que des moments d’extase. Pourtant, c’est magique. La scène est un vertige qui vous porte vers le haut. J’aime son côté sensuel, foudroyant. C’est comme un orgasme. |
Paris Match, le 30/05/1996
Mon spectacle est dans la tradition américaine. J’avais besoin de la stature des danseurs, de leur métissage. Mais c’est tout. Car ce que les Américains gagnent en professionnalisme, ils le perdent en émotion. On ne peut pas tout avoir. |
20 h Paris Première - Paris Première, le 30/05/1996
(24 heures avant Bercy), ça va bien. Le trac, quand même. Mais, relativement sereine. |