Les citations liées à "Enfance"
Télé Star, le 11/04/1988
À dix ans, j’avais envie de faire tout ce que les autre ne faisaient pas, frappée par cette peur panique de ressembler à quelqu’un. Ce que je suis aujourd’hui n’est que la concrétisation de cet état d’esprit. |
TV Hebdo, le 17/04/1988
Je n’ai pas de souvenir précis de mon enfance. Mais, quand j’étais petite, on me disait souvent : « mon petit garçon », j’en avais la silhouette et le comportement. Comme si je n’avais pas d’identité. |
Jours de France, le 23/04/1988
J’aime l’enfance, mais elle m’inquiète. La mienne est tellement sourde, étrange. |
Jours de France, le 23/04/1988
J’avais treize ans et je ne sais pas ce qui m’a pris. Je suis sortie de chez moi, j’ai pris mon mouchoir et l’ai placé dans le creux de mon pantalon. Mais, cinq minutes après, je l’ai vite retiré ! |
Super, le 01/05/1988
C’est vrai que j’ai du mal à m’extraire de l’enfance. Je crois que je ne le pourrai jamais d’ailleurs. Ce que j’aime chez les enfants, c’est leur cruauté, qui est très dérangeante. On leur pardonne, parce qu’on dit qu’un enfant est innocent. Je ne le crois pas. |
Nous Deux, le 07/06/1988
Je rêvais comme tous les enfants d’être vétérinaire, ou au moins de faire un métier où il serait question d’animaux. |
Foto Music, le 01/07/1988
Je garde de cette époque de vagues souvenirs enneigés. |
Foto Music, le 01/07/1988
Quand j’étais petite, j’avais, et j’ai toujours, un grand amour pour les chevaux. A douze ans j’avais décidé d’en faire mon métier. J’ai passé plusieurs concours, jusqu’au moment où j’ai compris que la pratique seule ne suffisait pas. Il y avait aussi le côté pédagogique… Et malheureusement, ça ne correspondait pas à ma nature. Alors, j’ai bifurqué, abandonnant la direction chevaline. |
Télé 7 Jours, le 24/10/1988
J’ai découvert les chevaux à l’âge de 10 ans. J’ai même voulu faire de l’équitation mon métier mais, au moment de passer mon diplôme d’instructrice, j’ai tout abandonné. |
L'Est Républicain, le 01/11/1988
Sans contrefaçon, c’est vraiment quelque chose que j’ai vécu ; je me souviens, à l’âge de 12 ans, avoir un jour mis un mouchoir dans mon pantalon… Je pense que j’aurai toujours ces sentiments en moi, mais qu’ils vont évoluer au fil du temps. |