Les citations liées à "Goûts – Cinéma"

Du côté de chez Fred - Antenne 2, le 07/11/1988

J’ai tenté d’apprendre la langue russe et pour moi le plus beau cinéma, c’est le cinéma russe. Je l’ai découvert au travers de Tarkovski, Elem Klimov et j’ai hâte de découvrir les films de Sergei Paradjanov.

Top des Tops - Europe 1, le 04/12/1988

Un film de David Lean, qui est un de mes metteurs en scène préférés, qui s’appelle La fille de Ryan. C’est ce même auteur qui a fait Lawrence d’Arabie, qui a fait Docteur
Jivago
, et puis j’en oublie beaucoup…
C’est toujours très, très romantique. C’est grandeur et décadence, c’est plein de choses ! Et La fille de Ryan, c’est peut-être le rôle que j’aurais voulu interpréter en premier.

Top des Tops - Europe 1, le 04/12/1988

Je vais parler de Spielberg. C’est quelqu’un qui me touche énormément. Alors je vais parler d’E.T., par exemple, Rencontre du troisième type qui est une merveille.
C’est un regard d’enfant éternellement, oui, retourné vers le passé…
Et puis, je peux encore retomber dans un autre univers qui est celui de Bergman, qui est, là, très, très intimiste.

De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989

J’ai beaucoup aimé, un film, qui était La guerre du feu. (film réalisé par Jean-Jacques Annaud et sorti en 1981, NDLR) C’est vrai que je n’aime pas beaucoup porter de jugement sur les choses, mais L’ours n’est pas un film que j’ai beaucoup aimé.

11 heures chez vous - RMC, le 14/03/1989

David Lean, c’est quelqu’un que j’aime beaucoup, qui a une sensibilité tout à fait intéressante. Spielberg : l’émotion, et puis la folie, et puis très enfant. Le côté très, très enfant, très immature et très poète.

Graffiti, le 01/05/1989

Mes réalisateurs préférés sont Roman Polanski, Jean-Jacques Annaud et Louis Malle car j’aime le regard qu’ils portent sur l’enfance.

Lyon Matin, le 11/05/1989

J’aimerais être la muse de Villiers de l’Isle Adam. J’aime son désir d’absolu et son style d’écriture métaphorique. Rilke, quitte à voler son homme à Lou Salomé ! Sans oublier David Lean, Jérôme Bosch, Baudelaire. Comme lui, je pense que le beau est bizarre. Il suscite des sensations indéfinissables, donc étranges. Il peut faire pleurer.