Les citations liées à "L’Âme-Stram-Gram – Clip"

Les années tubes - TF1, le 02/04/1999

J’étais allée à Hong Kong une seule fois, mais très brièvement, donc j’avais très peu de souvenirs. Et là, je suis restée à Hong Kong et Pékin, qu’ils appellent Beijing, trois semaines.

NRJ, le 06/04/1999

J’avais envie de fantômes, j’avais envie de surnaturel, j’avais envie d’une sœur jumelle et, ma foi, je me suis penchée sur le problème et j’ai écrit le scénario. J’ai travaillé avec une personne. Et puis, après nous l’avons soumis à un metteur en scène chinois qui a réalisé quinze long-métrages, qui est très, très connu dans son pays et qui est un peu connu ici, mais plus par les cinéphiles pour Histoires de fantômes chinois – il a fait trois parties – et c’est magnifique.

NRJ, le 06/04/1999

J’ai souhaité revenir à une histoire plus longue.
J’avais envie de parler de fantômes et de choses extraordinaires. Et, quand j’ai commencé à écrire cette histoire, j’ai cherché des réalisateurs et puis, voilà, j’ai découvert ce réalisateur chinois qui s’appelle Ching Siu Tung et qui était lui-même en pleine réalisation d’un long-métrage, terminait un long métrage. Et on est allé le chercher jusqu’en Chine populaire.

NRJ, le 06/04/1999

Cinq jours de tournage.
Nous avons travaillé énormément. Vingt heures, parfois, sans interruption. Les conditions atmosphériques étaient difficiles. J’avais un changement permanent de costume mais c’était passionnant. C’est le plus important.

Alouette Star - Radio Alouette, le 16/04/1999

Le tournage s’est passé donc en Chine, Chine populaire, à Beijin, a duré cinq jours, a été assez difficile, parce que beaucoup d’heures écoulées. Les Chinois et le réalisateur chinois est une bête de somme (sic). J’aime le travail, donc quand je dis que c’était difficile, c’est parce que, aussi, les conditions atmosphériques étaient assez pénibles. Mais c’était passionnant, et à chaque fois, des choses différentes à faire !

Radio Scoop, le 16/04/1999

Je suis à l’origine du scénario, et Ching Siu Tung a apporté ses modifications et m’a apporté tous ses fantômes parce qu’il a fait quinze longs métrages dont trois qui s’appellent Histoires de Fantômes Chinois.

Top Music, le 30/04/1999

Quand on a travaillé à nouveau avec Laurent, il a posé une rythmique et j’avoue que j’avais très envie de quelque chose, justement, de rythmique, voire d’un petit peu plus léger. Maintenant, quant à son thème, il me paraît plus ambigu et… si ce n’est que j’ai re-détourné ce thème à nouveau avec l’image. Donc là encore, moi-même dans une propre histoire je m’autorise autre chose, une lecture différente.