Les citations liées à "Laurent Boutonnat"

Télé 7 Jours, le 30/10/1995

Je n’étais qu’actrice dans cette aventure. Cet échec a été très douloureux pour Laurent.
L’urgence n’était pas ma réaction, mais la sienne. Je ne vous en dirai pas plus. C’est de l’ordre de l’intime.

Libération, le 07/11/1995

Son physique de romantique, ses yeux bleus, très pâles. Son côté secret. Il parle peu, comme moi.

Libération, le 07/11/1995

Moi en libertine (« je suis une catin »), c’était Laurent Boutonnat ; Sans Contrefaçon (« je suis un garçon »), c’était moi. J’avais mis un mouchoir dans mon pantalon à la maison. Pour voir. J’aime me travestir. On m’a longtemps appelé: « mon petit garçon ».

Studio Gabriel - France 2, le 14/12/1995

Avec Marcus Nispel, c’est un petit peu différent. C’est vrai que je lui donne la chanson, et la nouveauté, c’est que je lui demande « Quelle idée avez-vous par rapport à ça ? ». J’avais besoin, en tout cas envie, que quelqu’un m’amène quelque chose de l’extérieur, un nouveau regard. Quant au travail d’avec Laurent Boutonnat, j’ai fait quand même beaucoup, beaucoup de clips, et j’ai été très, très gâtée, et là, c’était un travail commun, souvent, en parlant de l’histoire.

Studio Gabriel - France 2, le 14/12/1995

Ce sont les hasards de la vie, et des rencontres, qu’on peut avoir, qui sont très très importantes. Et j’ai fait la rencontre de Laurent Boutonnat qui voulait lui-même se diriger vers le cinéma, et était également compositeur, adorait la musique. Et nous sommes nés de la même chose, donc de la musique. C’est un ami commun qui nous a réunis, et lui m’avait parlé donc de cette première chanson, Maman a tort.

Europe 2, le 21/12/1995

Je parlerais volontiers des choix de casting. Des enfants, des personnages en général… Quand j’ai vu toutes ces personnes, j’ai pensé, moi, à l’époque de Désenchantée, quand nous avons fait ce clip et ce casting. Il y a des ressemblances dans le choix des visages. Quant à une manière de travailler, tous les deux (Laurent Boutonnat et Marcus Nispel, ndlr) sont très rigoureux. Et, je crois, ont une grande maîtrise et de l’image et d’un plateau. Et ont tous les deux en commun cet amour pour le cinéma et l’image, tout simplement.