Les citations liées à "Laurent Boutonnat"
Nulle Part Ailleurs - Canal Plus, le 07/10/1988
Cent cinquante figurants, c’est sur une journée. Il y a eu huit jours de tournage et en globalité, on peut compter à peu près 500 à 600 figurants. Donc, c’était un travail colossal pour le metteur en scène. Et j’avoue que moi j’ai pris un plaisir… le plus grand plaisir, c’était le tournage, mais surtout le montage. Parce que là pour moi, c’était prodigieux ce travail que Laurent a fait avec cette monteuse, qui est Agnès Mouchel. |
Clip Dédicace - M6, le 08/10/1988
C’était pour moi un réel plaisir et une grande émotion que d’assister au montage, et spécialement de ce clip parce que c’est un travail qui est énorme, et c’est vrai que Laurent Boutonnat travaille avec une monteuse qui est extraordinaire. |
Clip Dédicace - M6, le 08/10/1988
Laurent Boutonnat, lui, sa grande passion, c’était le cinéma mais lui a démarré très, très jeune. A 16 ans il a fait son premier long-métrage. |
Clip Dédicace - M6, le 08/10/1988
Je ne sais pas si on peut parler de hasard. Ce sont des rencontres comme ça qui existent. C’est en tout cas une bonne étoile, en ce qui me concerne ! Et puis après, c’est beaucoup de travail, aussi. |
La Une est à vous - TF1, le 22/10/1988
Dans les disques, Laurent Boutonnat est compositeur, donc c’est avant tout la musique. Et moi, sur le dernier album Ainsi soit je…, j’ai fait quasiment l’intégralité des textes, si ce n’est Baudelaire – le poème de Baudelaire, L’Horloge et puis une reprise de Déshabillez-moi. Et quant aux clips, c’est lui qui écrit la plupart du temps les scénarios, et c’est toujours une collaboration. |
OK !, le 24/10/1988
Avec le montage des clips on peut tout faire, tout détruire ou tout sublimer, tout faire basculer. C’est magique et tragique à la fois. J’ai toute confiance en Laurent Boutonnat qui réalise mes vidéos mais c’est déroutant de se voir à l’écran et j’aurais parfois envie de couper certains plans où je ne me plais pas mais qu’il garde car ils lui paraissent essentiels dans la construction de l’histoire. Ça n’est pas toujours facile de faire abstraction de soi en images, d’avoir suffisamment de recul pour privilégier le film, mais c’est absolument passionnant. |
Télé 7 Jours, le 24/10/1988
C’est le paradoxe de l’artiste. On peut accepter les scènes de nu, si elles ont un intérêt, et si on a l’assurance d’un travail bien fait. J’ai confiance en Laurent Boutonnat. Pourtant, j’appréhendais un peu ces scènes (sur le clip Pourvu qu’elles soient douces, NDLR). Ce sont les regards, ou les commentaires des personnes sur le plateau qui peuvent rendre la situation embarrassante. Là, tout s’est très bien passé. Malgré tout, me déshabiller dans mes clips ne va pas devenir systématique. |
Télé 7 Jours, le 24/10/1988
Il y a des rencontres qui marquent. Laurent apporte tant de réponses à mes demandes ! Je crois que, dans une vie, on ne trouve qu’une fois une relation créative aussi forte que la nôtre |
L'Est Républicain, le 30/10/1988
Je collabore, c’est vrai, souvent avec Laurent, que ce soit pour les musiques, le studio, les scénarios précédents. Cette fois (pour le clip Pourvu qu’elles soient douces, NDLR), j’ai laissé faire. Ils y ont travaillé à deux. À trois, tout se serait compliqué. C’était, pour moi un peu comme quand un metteur en scène présente un synopsis. |
L'Est Républicain, le 30/10/1988
Nous avons, Laurent et moi, un amour du cinéma. Il a besoin de créer également dans ce domaine. Je ne peux dissocier chanson et images. J’ai d’abord voulu être comédienne. |