Les citations liées à "Laurent Boutonnat"
L'Est Républicain, le 30/10/1988
Laurent Boutonnat a un projet de long-métrage. Il y a avant, une scène à effectuer. Ensuite, il pensera cinéma sans oublier la chanson. Moi aussi peut-être. Cela dit avec des points de suspension. |
L'Est Républicain, le 30/10/1988
Nous serons trois pour l’élaborer. Gilles Laurent est venu se greffer à notre équipe. La chorégraphie sera plus mon domaine. Ce qui n’empêche pas le dialogue. |
Rockland, le 01/11/1988
Laurent (Boutonnat) et moi, on s’est rencontrés un jour sur Maman a tort : il m’a vue, assise sur une chaise, et m’a prise pour un petit oiseau un peu psychiatrique, bizarre… Ensuite, ça a été une succession de découvertes entre lui et moi. Il est très difficile de dresser son portrait. Je pense que c’est quelqu’un d’une grande éthique morale, d’une grande droiture… Mais il a aussi ce trait commun avec moi d’être caractériel : il peut passer de moments d’extase à des moments d’anéantissement en deux minutes. |
Rockland, le 01/11/1988
On voudrait nous voir en couple (avec Laurent Boutonnat, NDLR) dans la vie privée, mais ça ne regarde personne. Il a d’autres exigences ; sa vie, c’est le cinéma et la chanson. |
Rockland, le 01/11/1988
Je n’ai pas à me justifier vis-à-vis de ceux qui pensent que je suis un produit conçu par Laurent Boutonnat. Nous constituons un « mariage » parfait de complémentarité, de complicité. Je n’ai pas envie de travailler avec quelqu’un d’autre que lui, mais j’espère pouvoir vivre d’autres expériences. Et si un jour je viens au cinéma, il y aura peut-être divorce. Laurent a un projet de long-métrage ; il a un scénario déjà écrit et j’accepterais consciemment le danger d’être à nouveau associée à lui avec qui je suis dans un confort total. J’aime la façon dont il filme, dont il perçoit les gens et les visages ; il me connaît très très bien et je sais qu’il ne me trahira pas. |
Rockland, le 01/11/1988
J’ai toujours rêvé d’images avec les mots et le clip est un bonheur. J’aime tous ceux que Laurent Boutonnat a mis en scène. |
Star Club, le 01/11/1988
Laurent Boutonnat cherchait quelqu’un pour enregistrer Maman a tort. Mon physique de l’époque correspondait complètement à la chanson. J’ai fait ce premier disque dans une inconscience totale. |
Du côté de chez Fred - Antenne 2, le 07/11/1988
C’est des choses aussi qui sont essentielles, je crois, dans la vie d’un artiste, c’est d’avoir une équipe solide et puis, des univers communs. C’est pourquoi je continue avec Laurent Boutonnat, avec Bertrand Le Page et puis la maison de disques, bien sûr. |
De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989
Les clips, ça fait partie de l’air du temps, d’une part, mais c’est vrai que j’ai eu la chance, moi, de rencontrer Laurent Boutonnat, qui a fait ses premières armes dans le cinéma. A l’âge de 16 ans, il a réalisé un long-métrage…C’est un petit Boutonnat, qui n’a jamais quitté sa caméra, donc il avait très envie, lui aussi, de s’’exprimer au travers de vidéo-clips. |
De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989
Il y a toujours des rapports de force, mais il y a des moments qui se passent merveilleusement bien ! Moi, quand je travaille avec Laurent, j’ai d’abord besoin de la musique si je dois écrire une chanson, par exemple. D’abord besoin de la musique pour pouvoir y mettre des mots. |