Les citations liées à "Libertine"
Star Club, le 01/11/1988
C’est sur Libertine que je me suis rendue compte de la différence entre un succès d’estime et un succès médiatique. Et là, j’ai peur de ne pas arriver à assumer… |
De l'autre côté du miroir - Sud Radio, le 01/03/1989
J’ai eu un rendez-vous avec le public réellement sur Libertine. Donc là s’est produit, effectivement, un déclic, à savoir qu’on se dit, finalement : « Il y a quelques personnes qui vous aiment, qui vous écoutent ! » Je crois que le déclic s’est produit à ce moment-là, vraiment… C’est là que j’ai changé même de couleur de cheveux ! |
Graffiti, le 01/05/1989
Cette chanson Libertine est venue très naturellement. J’étais en studio d’enregistrement, à l’occasion de mon album, et la musique de Libertine a commencé à défiler sur les bandes. A cette époque, il n’y avait pas de paroles et j’ai lancé, comme ça : « Je suis une pute »; de là est venu « Je suis une catin ». |
Graffiti, le 01/05/1989
Nombreuses sont les âmes pures qui ont été choquées par mes paroles trop osées ou par mes robes trop échancrées. Mais je n’ai pas eu peur de provoquer, j’ai même récidivé lors de mon clip. |
Domina, le 01/05/1989
Libertine, c’est un état. Profession de foi, non ! Il ne faut pas trop se prendre au sérieux ! Mais c’est un plaisir, en tout cas. |
Domina, le 01/05/1989
D’habitude on me dit perverse. Ingénue, non. Plutôt lucide. Pour moi, libertine est l’alliage de coquine et de putain. |
Domina, le 01/05/1989
Le XVIIIème siècle est une époque qui me fascine, qui m’attire. Oui, j’aurais pu être libertine. |
Podium, le 01/09/1991
Pas de doute, cela fait partie du cycle Libertine, Pourvu qu’elles soient douces. Là encore j’ai sûrement certains comptes à régler avec la gente masculine. C’est une façon de ne pas se prendre au sérieux pour la chanson un peu différente du reste de l’album. |
7 Extra, le 31/10/1995
Dès l’instant où j’ai accepté de chanter Libertine ou Sans Contrefaçon, je savais que je devais m’attendre à certaines réflexions. Dire que je ne suis pas atteinte par ces critiques serait faux. Mais je n’y accorde pas beaucoup d’importance. Si les autres ont envie de découvrir d’autres choses en moi, plutôt que de bâtir des jugements expéditifs, tant mieux. Sinon, tant pis, ce n’est pas grave. Je vis très bien avec ce que j’ai exprimé. |
Libération, le 07/11/1995
Moi en libertine (« je suis une catin »), c’était Laurent Boutonnat ; Sans Contrefaçon (« je suis un garçon »), c’était moi. J’avais mis un mouchoir dans mon pantalon à la maison. Pour voir. J’aime me travestir. On m’a longtemps appelé: « mon petit garçon ». |