Les citations liées à "Maman a tort"
Graffiti, le 01/05/1989
J’étais jeune, mais il faut bien dire que si j’ai accepté de chanter cette chanson, c’est parce qu’elle me plaisait… Je n’aurais jamais chanté n’importe quoi. |
Génération Laser - RTL, le 08/04/1991
Maman a tort, c’était la seule et je ne crois pas qu’il y en aura d’autres (chanson en anglais, ndlr) parce que ma langue première, c’est bien évidemment le français. Ou vraiment pour s’amuser, pourquoi pas. Si j’ai envie qu’on me connaisse, c’est vraiment dans cette langue et à l’étranger je ferai en sorte d’imposer cette langue. Ou alors, ou alors… tant pis. |
Génération Laser - RTL, le 08/04/1991
La provocation pour la provocation, ça n’a aucun intérêt. Je savais que c’était un thème qui pouvait susciter des réactions. J’ai décidé de l’interpréter en connaissance de cause. |
Génération Laser - RTL, le 08/04/1991
On l’a fait (la version anglaise de Maman a tort, ndlr) réellement pour s’amuser et pour voir ce que ça pouvait donner en anglais. Mais non, pas de grand espoir, en tout cas ! |
Studio Gabriel - France 2, le 14/12/1995
Ce sont les hasards de la vie, et des rencontres, qu’on peut avoir, qui sont très très importantes. Et j’ai fait la rencontre de Laurent Boutonnat qui voulait lui-même se diriger vers le cinéma, et était également compositeur, adorait la musique. Et nous sommes nés de la même chose, donc de la musique. C’est un ami commun qui nous a réunis, et lui m’avait parlé donc de cette première chanson, Maman a tort. |
Angeline's, le 23/09/1996
Il parlait peu, comme moi. Comme moi, il avait pris des cours d’acteur. Il avait composé une chanson, Maman a tort. Je correspondais à l’image qu’il se faisait d’une chanteuse. C’est comme ça que la machine s’est mise en marche. J’ai toujours aimé exister à travers le regard de l’autre. Il rêvait de cinéma, à en mourir et de faire un film Giorgino. |