Les citations liées à "Personnalité"
Télé 7 Jours, le 30/10/1995
Prenons l’exemple d’une relation amoureuse : le non-dit, une certaine ambiguïté, l’idée de secret me paraissent essentiels pour sa réussite. Et puis, que voulez-vous, cela est dans ma nature. |
Télé 7 Jours, le 30/10/1995
Je suis intuitive, même si je prends le temps de réfléchir. Les doutes font aussi partie de moi, pas l’hésitation. |
Télé 7 Jours, le 30/10/1995
Je pense être indépendante, mais j’ai besoin de l’autre. On apprend toujours de l’autre. Une solitude permanente m’est impossible. |
7 Extra, le 31/10/1995
L’idée de provocation fait partie intégrante de ma vie, sans qu’il y ait derrière cela la moindre revendication. C’est important de provoquer, du moins de susciter une réaction, une réflexion ou une révolte. Mais de là à se focaliser sur un et un seul aspect de la personnalité de quelqu’un, il y a une marge. |
7 Extra, le 31/10/1995
En ce qui concerne la notion de rupture, je parlerais plutôt d’une élévation. S’élever tout en gardant les pieds sur terre et en essayant de comprendre l’autre. En n’oubliant pas que la mort n’est pas une fin en soi. Donc, si rupture il y a, c’est une rupture de l’esprit terrestre, avec cette envie d’envisager d’autres choses. Finalement, j’ai peut-être tout simplement exprimé mon envie de spiritualité. |
7 Extra, le 31/10/1995
Je crois que tous nous avons besoin de notre dose de spiritualité. On vit dans un monde qui est de plus en plus désespérant et totalement bouché. Pour justifier son existence ici et pour pouvoir l’apprécier, on a envie d’imaginer que la vie ne s’arrête pas une fois que la mort apparaît. Avant, cette notion faisait partie de moi. Aujourd’hui, je n’en veux plus, je ne l’accepte plus. Sinon, je ne peux pas vivre correctement. Je suis arrivée à cet état d’esprit grâce à certaines lectures et méditations. |
L'Express, le 02/11/1995
« Vertige » est un mot clé. J’ai, fatalement, changé. J’ai grandi. Je me suis ouverte à la vie. |
L'Express, le 02/11/1995
Il y a en moi de la provocation, de la force, de l’effacement et beaucoup, beaucoup de paradoxes. |
Libération, le 07/11/1995
Je me sens mieux depuis que j’ai compris qu’il y avait une vie après la mort. Et j’ai une force en moi, je peux tomber très bas, me laisser descendre, mais je repars toujours, je m’interdis de sombrer totalement. |
Jeune et Jolie, le 01/04/1996
La solitude, c’est une chose que j’essaie de bannir aujourd’hui. J’aime désormais l’idée du dialogue et de la rencontre. J’aime probablement donner plus aussi puisque le dialogue est une forme de don. |