Les citations liées à "Pourvu qu’elles soient douces – Clip"
France Soir, le 05/10/1988
(Les chevaux de Mario Luraschi dans le clip Pourvu qu’elles soient douces) savent galoper au ralenti, c’est extraordinaire. J’ai eu l’impression d’être une véritable dresseuse. |
France Soir, le 05/10/1988
L’histoire du clip : les anglais veulent aller en Prusse, se trompent de chemin et découvrent Libertine couchée sur la terre. Les prostituées, envoyées par l’armée, rivalisent avec la jeune Libertine, et chut ! On ne dit pas la suite… |
France Soir, le 05/10/1988
Tous les détails ont leur importance. Quelqu’un a dit : « On peut violer l’Histoire à condition de lui faire un enfant. » (…) |
France Soir, le 05/10/1988
Je me suis battue dans la boue, contre d’autres femmes. Quel plaisir ! |
France Soir, le 05/10/1988
Je suis prête à tourner le troisième volet (de Libertine, NDLR). |
Nulle Part Ailleurs - Canal Plus, le 07/10/1988
Le clip Pourvu qu’elles soient douces fait 15 minutes et il y a même 2 minutes 50 de générique, je crois. Donc 17 minutes en tout. |
Nulle Part Ailleurs - Canal Plus, le 07/10/1988
Je me tournais en premier lieu vers l’équitation. C’est-à-dire que je voulais être monitrice d’équitation. Après, je me suis très vite aperçue que ce n’était pas du tout une vocation. J’ai découvert, justement au travers ce clip Pourvu qu’elles soient douces, avec des cascadeurs, que c’était plus cette formation que j’aurais voulu entreprendre. Après, j’ai suivi des cours de théâtre, donc je voulais être actrice. Et puis, j’ai rencontré Laurent Boutonnat. Moi j’appelle ça la chance des rencontres. Il y a peu de rencontres dans sa vie. |
Nulle Part Ailleurs - Canal Plus, le 07/10/1988
On a voulu faire la suite de Libertine, ce qui n’était pas évident ! On a bien pensé la chose. C’est vrai que pour Pourvu qu’elles soient douces il n’était pas évident de proposer la suite de Libertine. Après, c’est une recherche. Pourquoi 17 minutes ? Parce que l’amour commun de Laurent et de moi-même pour le cinéma, pour avoir envie de dépasser peut-être, c’est vrai, une chanson et l’histoire d’une chanson. |
Nulle Part Ailleurs - Canal Plus, le 07/10/1988
Cent cinquante figurants, c’est sur une journée. Il y a eu huit jours de tournage et en globalité, on peut compter à peu près 500 à 600 figurants. Donc, c’était un travail colossal pour le metteur en scène. Et j’avoue que moi j’ai pris un plaisir… le plus grand plaisir, c’était le tournage, mais surtout le montage. Parce que là pour moi, c’était prodigieux ce travail que Laurent a fait avec cette monteuse, qui est Agnès Mouchel. |
Nulle Part Ailleurs - Canal Plus, le 07/10/1988
Au début la première image, donc, c’est la fin de la dernière image de Libertine 1, et donc on retrouve Libertine étendue aux côtés de son chevalier et l’armée anglaise va arriver sur le territoire français par erreur, devrait aller en Prusse mais s’est trompée, et va découvrir Libertine et puis la guérir. Le capitaine anglais va tomber amoureux de cette jeune fille, et de l’autre côté, l’intrigue donc, c’est l’armée française qui va découvrir la présence de cette armée anglaise sur le territoire français et qui va payer des prostituées pour pénétrer le camp anglais et décimer cette armée anglaise. Et dans les prostituées, on retrouve la rivale de Libertine. |