Les citations liées à "Violence"
Mon Zénith à moi - Canal Plus, le 10/10/1987
J’aime la violence. J’aime la regarder. J’ai, je dirais pas un plaisir sadique, mais c’est presque ça. J’ai une complaisance dans la violence, dans les images de mort presque, oui. |
Bains de Minuit - La Cinq, le 06/11/1987
J’ai une fascination pour la violence et j’aime ça. Je ne suis ni sadique, ni folle. (…) Que je sois attirée par ça, oui certainement. Que j’aime ça, c’est un débat qui est quand même plus complexe. |
Mais où sont les caméras ? - Skyrock, le 07/05/1988
J’ai une part de moi-même qui doit être très violente… |
Génération Laser - RTL, le 08/04/1991
Quand on parle d’orgasme, on parle de petite mort. Ce n’est pas par hasard. Ce n’est moi non plus qui l’ai dit et inventé. Donc c’est vrai que amour et violence, c’est un mariage inévitable parce que ce sont des choses passionnées, fortes et démesurées. |
Paris Match, le 30/05/1996
On a tous en nous un côté vulgaire qu’on refoule. Le sexe fait partie intégrante de notre vie. Moi, j’accepte sa violence. Histoire de l’œil de Georges Bataille, est un de mes livres préférés. Ça ne veut rien dire. J’adore aussi lire Sade. Pourtant, je hais la torture. Simplement, je refuse de me censurer. |
Paris Match, le 12/09/2013
La réalité est violente. C’est dans cette violence qu’elle prend toute son ampleur. Même si je suis privilégiée, il est vital de développer l’imaginaire pour entrevoir un peu de lumière. Donner une autre dimension au temps qui passe inexorablement. Un féroce instinct de survie… |
Laissez-vous tenter - RTL, le 03/10/2018
Malheureusement, je crois que nous sommes tous des éponges. Nous nous nourrissons malgré nous de tous ces effondrements et cette violence. C’est très très difficile. Mais là encore, j’ai ce privilège qu’est de faire le métier que j’aime, de pouvoir écrire, de pouvoir extérioriser les choses, de pouvoir me débarrasser de choses trop lourdes. Mais je pense à tout ça bien évidemment. Je subis le monde comme tout un chacun. |
Le 17/20 - RFM , le 18/12/2019
Je lis très très peu de journaux, de magazines, je ne regarde quasiment plus les informations, plus la télévision. Bien sûr, je m’informe quand même de l’actualité, mais néanmoins, il y a quand même une espèce d’overdose d’hémoglobine, d’overdose de violence, de négativité dans le fond, et puis de ce qui empêche la création, aussi. |
Le Journal du Dimanche, le 20/11/2022
Difficile de ne pas être sidérée par cette période où l’on assiste à la fin d’un monde… Cela crée un grand vide et un chaos mental. Un monde nouveau se profile dont on ne connaît pas bien les contours. La seule certitude, c’est que le passage d’un monde à l’autre risque de se faire dans la violence. C’est très angoissant. Pour certains l’« à quoi bon » est prédominant, pour d’autres c’est l’envie de liberté, de s’affranchir de tout, et pour beaucoup la peur froide et terrible du lendemain. Quant à moi, il y a aussi l’introspection… Avec cette question essentielle : « Qu’est ce qui est important dans ma vie ? » |