Comme chaque
année le magazine Challenges propose le classement des
chanteurs en France en fonctions des revenus.
Les infos sont déjà disponibles sur le site
internet du journal (qui sera en vente demain):
http://www.challenges.fr/le_classement_des_fortunes_2011_de_la_musique
Pour 2011,
Mylène se classe 03ème avec 3,1 millions d'euros
derrière Yannick Noah (3,8 millions d'euros) et David Guetta
(3,2).
L'année dernière, Mylène
était 02ème de ce même classement
annuel (avec 3,6 millions d'euros) mais
bénéficiait alors des recettes du
Tour 2009 et de son
merchandising notamment.
Cette année,
Mylène est la seule artiste féminine parmi les
dix premiers de ce classement.
Il est fait référence à plusieurs
reprises à Mylène dans l'article de challenges.fr:
Niveau ventes, l'AFP résume:
"Avec 140.000 exemplaires et 10.000
téléchargements vendus lors de la
première semaine de commercialisation,
Mylène Farmer
a réussi, selon Challenges, le meilleur lancement de
l'histoire du disque pour un artiste francophone."
"Un nouveau modèle est en train de se dessiner, dans lequel
les majors ne peuvent plus passer pour des forteresses
dépassées par la technologie et contraintes de
poursuivre en justice les mélomanes pirates. "Comme on le
voit avec Mylène Farmer, qui dispose d'un public
très fidèle, toute la stratégie des
maisons de disques va maintenant consister à solidifier le
lien entre l'artiste et sa tribu", analyse Serge Assayag. "
"Le classement porte sur le revenu 2010 des chanteurs
français vivants, généré
par leur activité musicale sur le territoire national, hors
revenus connexes (contrats cinématographiques, publications,
prises de participation dans des sociétés,
cachets télévisuels) et droits,
précise Challenges.
Ont été pris en compte les ventes de disques
physiques et numériques issues de différentes
sources, pondérées par les compétences
de l'artiste
(auteur/compositeur/interprète/éditeur), la
taille de son fonds de catalogue disponible, le nombre de passages
radio, les revenus générés par les
tournées (entrées et produits
dérivés si existants) selon le niveau
d'intéressement de l'artiste, et les contrats publicitaires."