Le
28 mars,
des
chanceux ayant remporté un concours
organisé par la radio NRJ, ont le privilège
d’écouter l’album en
intégralité en présence de Pascal
Nègre (Mylène fera même une
brève apparition avant l’écoute
précisant
que les fans présents sont les premiers à
découvrir
l'album après la maison de disques, album sur lequel
Mylène confie avoir travaillé pendant un
an).
Cette
écoute se déroule au théâtre
du Palais Royal
à Paris et les cent privilégiés auront
le plaisir
de découvrir les nouvelles chansons de Mylène
(à
l'exception du titre caché Nobody knows) avant de recevoir
chacun une enveloppe promo luxe de Fuck
them all et des boîtes de mignardises.
L’album
sort en
Digipack et coffret collector le 04
Avril puis deux semaines plus tard
sous d’autres supports. Le Virgin megastore et la FNAC des
Champs Elysées ont organisé comme à
chaque sortie événementielle d’un album
de Mylène une opération spéciale avec
mise en vente de l’album dès
minuit. Des centaines de fans se sont bousculés
pour détenir enfin ce coffret si longtemps
désiré.
Comme
pour le premier single
extrait, cet album va diviser les fans comme aucun autre
auparavant : beaucoup regretteront l’absence de
renouveau musical chez Laurent Boutonnat, la prédominance de
ballades un peu similaires alors que d’autres souligneront
que cet album et notamment certains textes sont en symbiose avec le
bonheur
que connaît Mylène dans sa vie privée
et apprécieront l’originalité
de certaines
titres comme
«
Porno...Graphique »,
« Nobody knows ", tout
cela donnant lieu à des débats parfois houleux
mais passionnés entre fans.
La
presse est divisée mais on note des critiques
très
favorables (Le Monde, Rock and Folk, Le Journal du Dimanche...) assez
inhabituelles pour Mylène habituée à
être
malmené par les critiques à chaque nouvel album.
Lire les critiques sur la page Presse de
l'album
L’album entre
directement à la première place du Top Albums et
se vend à environ 150 000 exemplaires en
une semaine mais va vite amorcer une
chute irréversible dans les classements.
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