Mylène Farmer - Influences - À quoi je sers... (Texte)
Luc Dietrich - L'Apprentissage de la ville (1942) |
Mylène Farmer - À quoi je sers... |
"Si elle n'a pas besoin de moi, je suis perdu
Car, si elle n'a pas besoin de moi, je n'ai pas besoin de moi-même. Si je ne sers à rien, ce n'était pas La peine de m'empêcher de mourir" |
"Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air
Je sers à rien du tout" Mylène a évoqué à plusieurs reprises Luc Dietrich en interview dans les années 80 : mylene.net/citations/luc-dietrich/ Luc Dietrich est également cité dans le programme des concerts du Tour 89 |
Luc Dietrich - L'Apprentissage de la ville (1942) |
Mylène Farmer - À quoi je sers... |
"Je suis comme celui dont les mains saignent à se
raccrocher, dont les tendons cèdent. Et même si je parvenais à me redresser, pour quoi, pour qui ? À qui cela servirait-il ?" (chapitre "Les grands mois d'hiver") |
"Chaque heure demande pour
qui, pour quoi, se redresser" |
Luc Dietrich - L'Apprentissage de la ville (1942) |
Mylène Farmer - À quoi je sers... |
"Alors le destin de l'Humanité toute entière
m'apparut dans ce mouvement de mauvaise marée : destins
fondus dans le même glissement, destins
lâchés par milliards comme poussières vivantes" (chapitre "Le pot de miel") |
"Poussière
vivante, Je cherche en vain ma voie lactée" |