Brève
interview diffusée pendant un journal sur Europe 1.
Mylène Farmer : C'était une vraie
urgence. J'ai attendu très longtemps et
c'était quelque chose dont j'avais
profondément envie. C'est retrouver un public que
j'ai perdu pendant près de quatre
années.
Laurent Delpech :
Quels rapports vous entretenez avec la
scène ?
Mylène Farmer : Je crois que c'est très,
très
libérateur. Il y a toujours un trac, une notion de trac qui
est
énorme. Maintenant, c'est un vrai bonheur que de
retrouver, là encore, si on peut parler de dialogue, en tout
cas une émotion, une émotion que je ne trouverai,
je crois, nulle part ailleurs. Donc la scène me donne
ça et, c'est bien et j'aime ce moment qui
est rare.
Qu'est-ce qu'on
peut vous souhaiter pour ces
trois Bercy et puis cette dizaine
de dates en province ?
De donner le maximum de plaisir aux personnes qui viennent me voir.