Une semaine avant la
sortie du film
Ghostland
dans les salles de cinéma en France,
l'hebdomadaire "Gala" publie un reportage sur le tournage du film
incluant des photos inédites mais également des
extraits de deux entretiens avec Mylène et le
réalisateur Pascal Laugier. Ces interviews sont
publiées en intégralité sur le site
internet du magazine gala.fr.
Gala : Vous aviez
aimé Saint
Ange, Martyrs,
The Secret,
les premiers films de Pascal Laugier, au point de le solliciter pour
diriger le clip de votre chanson City
of love, fin 2015. Mais qu'est-ce qui vous a
incitée à retenter l'expérience du
grand écran, dans un film d'épouvante, plus de
vingt ans après Giorgino ?
Mylène Farmer : Le désir de Pascal, son talent de
cinéaste, sa certitude que je pouvais incarner le personnage
de Pauline... C'est très porteur, très motivant,
très rassurant, malgré les doutes... D'autant
plus que son scénario était passionnant,
très bien écrit, et mon rôle vraiment
intéressant à construire.
La personnalité de Pascal Laugier a donc
été déterminante ?
Oui !
Une collaboration, c'est une question de chimie, le premier rendez-vous
détermine la suite. J'avais d'abord remarqué un
être passionné, immergé dans un
véritable univers, sur le tournage du clip de
City of love. Puis,
le cinéaste s'est imposé, avec son intelligence,
sa folie... Pascal est un réalisateur précis,
hanté, qui ne lâche rien.
Comment avez-vous préparé votre rôle :
des livres et films de référence ? Un coaching
particulier ?
J'ai beaucoup fréquenté les salles
obscures et, depuis toujours, j'aime ce genre de cinéma qui
nous maintient agrippés au fauteuil ! (Rires) Pour le
tournage de
Ghostland,
Arturo, un répétiteur, m'a aidée
à mémoriser mon texte. J'ai ensuite fait corps
avec le personnage de Pauline, au gré de mes discussions
avec Pascal.
Lire l'intégralité de l'interview
sur le site
https://www.gala.fr/