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Extraits d'autres critiques :
"Moins masochiste, mais tout autant fétichiste, Mylène Farmer se confesse à nouveau dans Innamoramento, nouvel album qui entend traduire "l'état transitoire, fait de bonheur mêlé d'inquiétude, qui débouche parfois sur l'amour". C'est là, dans ce no man's land sentimental que l'on tentera de trouver l'écho de ses secrets. A l'instar de Madonna, elle se veut aujourd'hui moins sulfureuse, inspirée par le Bouddhisme, son karma passant désormais par une attitude baba cool ("Je voudrais être opium, partir en fumée") et surtout plus mystique (Optimistique-moi). Mylène Farmer a l'art de savoir se renouveler. En partie composé par elle (Laurent Boutonnat signe la musique de huit chansons sur treize), le disque s'ouvre par un ciel d'Irlande un jour d'orage. Déesse celtique, elle se laisse porter par le souffle du néant, fascinée par les "puissances du dedans" (L'Amour naissant). Ses chansons ressemblent aux prières d'un être "monacal" dont l'écriture a toujours été vécue comme une thérapie. D'où les renvois à la psychanalyse consatés au fil de ses productions que l'on retrouve dans L'Âme-Stram-Gram, le single dans lequel la chanteuse livre ses confidences ambiguës sur un divan. (...) Regrettant d'avoir grandi trop vite, elle dit à la manière de Saint-Exupéry : "Dessine-moi un mouton". Plus loin elle s'imagine peinte en Femme nue debout sous les contours de son "seul maître" Egon Schiele. Bref, après Baudelaire et Poe, celle qui se décrit comme La Fille de Ryan (hommage à David Lean), multiplie les références. Reste qu'elle a beau faire mine de "donner sa langue au chat", il est toujours impossible de percer l'énigme Farmer. " (L'Humanité - 11 avril 1999)
"Conforme à sa réputation de grande chanteuse sans voix, elle y distille un phrasé de petit animal malade dont les murmures sont régulièrement couverts par la musique de Laurent Boutonnat. Rien ne sert de monter le son : les albums de Mylène Farmer, aussi sulfureux fussent-ils s'écoutent avec les paroles à portée de rétine." (Marianne)
"Plus qu'un album, un fourre-tout de sentiments , de mots crus ou crépusculaires, de références et de romantisme mélodramatique. Chacun pourra y entendre ce qu'il veut. L'universalité selon Mylène." (Télé Star)
"Même au coeur des refrains les plus crétins (L'Âme-Stram-Gram), elle laisse siffler suffisamment de serpents sur sa tête pour qu'un malaise délicieux finisse par s'instaurer. Sous le tube, on voit à nu sinon un peu de son coeur ou de son âme, mais un fragment de sa psychologie. C'est déjà beaucoup par les temps qui courent sur la FM. On a envie de la remercier." (Le Figaro)
"A 37 ans, Mylène Farmer garde ses habits de mystère - photos filtrées, interviews rares, passages à la télé millimétrés - mais dénude, au fil des textes d'Innamoramento, ses obsessions, pierres tombales, contes cruels, rimes SM. Ainsi, la voix de cristal empoigne les oedipes complexes (L'Âme-Stram-Gram), la culpabilité dévorante (Serais-tu là ?) et la parole de Bouddha (Méfie-toi). "Je veux croire en l'au-delà" souffle celle qui a "apprivoisé la vie en acceptant la mort". Il faut ouvrir les tiroirs dérangés d'idées noires, détruire les remparts de murmures et de plaintes (balldes, requiem), balayer les orages et les complaintes électroniques (tubes FM, syncopes dance) pour délivrer ici l'écume d'un livre qui ne la quitte jamais (Si c'est un homme de Primo Levi). Et cerner là, derrière l'à priori anodin Dessine-moi un mouton, le visage lézardé d'une femme qui se rêve en particule utilitaire, utile à quelqu'un." (L'Express - Mai 1999)
"Forte de ses années d'expérience et portée par ses lectures, Mylène porte un nouveau regard sur son passé, et une forte envie de communiquer. La pochette reste à ce jour la plus révélatrice quant à son parcours de femme." (Lettre Ouverte)
"Toujours aussi romantique, fragile et secrète, la diva réussit à faire à chaque nouvel album un événement médiatique. La sophistication extrême des textes n'a d'égal que les arrangements en dentelles des mélodies qui transforment la femme en princesse." (Ca se passe comme ça)
"Lensemble est en demie-teinte, baroque et précieux, et bénéficie d'une production luxuriante." (Carrefour Savoirs)
"Même voix fragile et évanescente, mêmes orchestrations amples et synthétiques signées Laurent Boutonnat, même canevas mélodique et rythmique, Mylène Farmer revient avec treize chansons écrites de sa main. Treize confidences intimes et éthérées où il est question d'amour naissant, d'Innamoramento pour reprendre le titre générique de son nouvel album. Dans ce registre poético-passionnel qui fait la part belle aux révoltes de l'adolescence (Et si vieillir m'était conté) et aux voluptés du vertige, la rousse Mylène est dans son élément, plus ange que démon cette fois." (Madame Figaro - 15 mai 1999)
"Rien ne change : ambiance aérienne, mystères soigneusement entretenus et libertinage ludique. Conclusion : les fans vont adorer. (Les Clés de l'Actualité)
"Sur la pochette, elle est déguisée en une sorte de Birdy perchées sur une cage ouverte plantée au milieu de la mer. Pas de suprrise, c'est du Farmer signé Boutonnat." (Idol)
" Peut-on impunément ignorer les modes lorsque l'on est un(e) artiste ? C'est la question qu'on est en droit de se poser à l'écoute du nouvel album de Mylène Farmer. Bien sûr, d'aucuns rétorqueront qu'on ne change pas une recette qui marche, mais il est vrai aussi que quiconque n'avance pas recule... Dans le cas de ce CD, on hésite d'ailleurs entre égratigner le tandem Farmer / Boutonnat qui éprouve toutes les peines du monde à ne pas s'autoparodier, et en faire léloge, la plupart des chansons de cet album s'avérant intéressantes !" (Ciné Télé Revue)
"L'amour est omniprésent dans les textes de ce nouveau disque qui oscille entre ballades langoureuses et plages plus nerveuses. Mais tout est, de part en part, d'une qualité irréprochable. Il est même difficile d'épingler l'un ou l'autre titre tellement l'ensemble est homogène ou brillant." (Nord Eclair)
"Moins sophistiqué et plus spirituel qu'Anamorphosée, Innamoramento est une réussite, avec, de-ci, de-là, quelques éclaircies qui font plaisir. D'une manière générale, on peut dire que l'artiste, autant dans ses compositions à elle que dans celles de son mentor, ne s'est guère renouvelée. Au menu, nous avons droit à pas mal de gémissements, de vocalises larmoyantes et de textes débordant de néant." (La Dernière Heure - Belgique)
"Sans jamais sonner artificielles, ces mélodies, derrière une belle unité de ton, investissent un large registre, osent un rock solide, balisé par de puissantes guitares, avant de taper, sans complexes, vers toute la subtilité de l'expression ethnique apprivoisée le temps d'un choeur très africain, un souffle de flûtes, de bagpipes. Une fois de plus le tandem Boutonnat-Farmer se révèle particulièrement inspiré, capable de progresser sans renier les sons et les climats feutrés qui ont contribué à leur immense gloire. L'harmonie est parfaite entre la partition et le mot pour installer de troublantes ambiances. Mylène Farmer cultive une écriture de poète, loin des formules apprêtées, prédigérées de la traditionnelle bluette. Elle sait, pour évoquer la langueur des jours, recourir à l'image sans jamais forcer sa plume. La chanson Et si vieillir m'était conté est un pur chef d'oeuvre, comparable à certains titres majeurs de Gérard Manset, seul capable, jusque là, de mettre en musique de tels sujets sans tomber dans la niaiserie ou le mélo surfait." (L'Est Républicain)
Toute la presse 1999