France Soir : Son enfance :
Mylène Farmer : Tout n'était pas très
clair chez moi,
même si je n'étais ni schizophrène ni
autiste.
Ses visites
à des enfants malades à
l’hôpital de Garches :
Au bout de quelques temps, vers l'âge de onze ans,
ça a été l'overdose : la
misère, la maladie, je ne pouvais plus. Aujourd'hui, je suis
comme le commun des mortels face aux problèmes des autres :
j'y suis sensible quand on me met devant, mais je ne vous dirai pas que
je pleure tous les jours.
Son enfance :
Je n'ai aucun souvenir de cette période bizarre, que je
n'ai pas aimée. Tout ce qui tournait autour de la
scolarité, je détestais. Je n'ai pas
été traumatisée, mes parents ne m'ont
pas maltraitée, mais c'est comme ça.
Aujourd'hui, si tout n’est pas rose,
j’arrive mieux à gérer ma salade
interne !
Le message de ses
clips :
Pour moi, les clips sont bien plus qu'un instrument de promotion, ils
racontent en images ce que j'ai envie de dire.